L’équipe de Tico a accueilli Maxime en immersion sur une journée il y a peu. Il nous a fait le plaisir de ce retour d’expérience que je ne peux m’empêcher de partager avec vous.
Bonne lecture…
Ecrit par Maxime Thépault suite à son immersion
Ding dong !
La journée de travail s’achevait lorsque je sonnais à la porte de theinsperience.co – Tico comme ils l’appellent. Le bleu et le jaune majoritaires dans la décoration, laissent penser à une équipe qui se complète dans une atmosphère estivale. Sur le coup, je me suis dis que ce n’était peut-être que l’étouffante chaleur qui me faisait penser cela, et pourtant c’est bien vrai, chacun est complémentaire de l’autre, offrant richesse et rebondissements dans les idées. D’ailleurs, l’espace de travail est une sorte de table ronde, propice aux échanges égaux. Une sorte, parce qu’elle n’est pas géométriquement ronde, mais c’est le concept. Et dans cet espace de travail, on trouve un haut plafond pour laisser de la place aux milliers d’idées qui fusent d’un coin à l’autre du lieu.
« Si tu es là c’est que tu nous as beaucoup plu. »
Après une petite visite, nous sommes sortis, direction le Café du Cinéma. Plutôt atypique comme entretien, mais d’autant plus intéressant. « On n’a pas forcément relu ta candidature, mais si tu es là c’est qu’elle nous a beaucoup plu. Alors vas-y, je te laisse nous redire ton parcours. » Cette franchise de la part de Clément, le leader de l’agence, m’a étonné mais m’a séduit. Je leur ai expliqué mon cursus un peu en dent de scie et j’ai très vite eu la sensation que ce qui leur plaisait, ce n’était pas mon avenir, mon présent, ou mon passé, mais les trois. Et c’est ce que j’avais immédiatement compris avec Tico, bien avant de les rencontrer, c’est qu’ils s’intéressent à l’histoire des individus (et j’ai presque envie de mettre une majuscule à « histoire ») : ils s’intéressent à l’humain. L’Humain en ce qu’il est mais aussi en ce qu’il peut devenir. Et parce que je partage cet intérêt, je n’ai pu refusé la journée d’immersion qu’ils m’ont proposée.
Tico c’est comme googler « j’veux du soleil »
Une semaine plus tard, je passais de nouveau par le paillasson « Slide to unlock » de Tico, mais le matin cette fois. Un matin qui promettait déjà une journée cuisante. L’accueil était aussi chaleureux que la semaine passée, et je ne pouvais que me sentir bien au sein de cette équipe. Rapidement Nicolas me donne ma première mission du jour. J’avais été prévenu par Clément que les petites taches que qui me seraient confiées seraient sans pression, mais il est impossible pour moi de travailler sans y plonger corps et âme. Et c’est un fait qui me rapproche toujours davantage du reste de l’équipe de Tico, car j’ai pu remarquer en une seule journée, combien chacun était passionné.
Très vite est venu le moment de « la météo du jour ». Je sais depuis un moment déjà qu’il faut instaurer des rituels pour qu’il y ait une cohésion sociale, un esprit d’équipe amical, mais je dois avouer que cette météo du jour, c’est du génie. Cher lecteur, chère lectrice, si vous êtes un ou une professionnel(le), n’hésitez surtout pas à prendre contact pour en savoir davantage.
C’est durant ce moment que me furent révélées mes missions de la journée. Et dans l’une d’elles, il y avait le mot « challenge ». Mais la vie est un challenge ! Un challenge de tous les instants ! D’emblée, me faire adopter par la meute (rassurez vous ce ne sont pas des loups, mais plutôt des abeilles : elles sont travailleuses et font fleurir notre paysage professionnel ; en plus elles font du booon miel) en était déjà un, que j’ai pris goût à relever sans effort tant nos violons s’accordaient facilement.
Chaque mission étaient différente des autres, chacune présentait ses propres difficultés. Mais quelque soit l’objectif, elles étaient toutes liées par la possibilité de pouvoir s’exprimer librement, de pouvoir vraiment faire ce qui me plaisait, et l’opportunité de pouvoir apporter une très grosse pierre à l’agence. Je suis roux, breton, et je porte de très grosses pierres, je suis, je suis, je suis ?!… Blague à part, j’ai eu la sensation qu’il n’y avait pas de mauvaise idée, car si à la limite il y en avait eu une d’incomplète, il y a un tel esprit de collaboration entre les différents acteurs de Tico, qu’elle aurait finie par être nourrie par le reste de l’équipe.
« Une vidéo sans son fait forcément penser à Véronique. »
Et travailler avec cette bande de larons (je n’ai pas mis de « d » dans ce mot, méfiez-vous lorsque vous lisez trop vite), ce n’est pas qu’aller de mission en mission, d’idée en idée, c’est aussi de surprise en surprise. Par exemple, la pause déjeuner s’est improvisée en shooting photo dans le miroir d’eau en face du château.
J’imagine, lecteur, lectrice, votre moue sceptique et circonspecte, mais si vous êtes professionnel(le), l’avez-vous déjà fait avec vos collègues ? Je suis sûr que non. Mais n’hésitez pas si vous en avez l’occasion par ces journées étouffantes, vous retrouverez un petit air de vacances (oui, elles sont terminées, je sais c’est triste : mais pensez-y, Tico peut vous aider à retrouver le sourire même au bureau). Quoi qu’il soit, pour une première journée, c’était vraiment amusant de pouvoir partager ce moment avec eux. Si jamais il y a eu de la glace, elle fût brisée depuis le premier entretien, fondue à la météo du jour, évaporée avec cette séance photo, qui n’a pas manqué de mettre en évidence l’âme d’enfant parfaitement intacte de chacun des membres de l’agence. Si j’avais pu me rendre compte que leur façon de travailler est aussi ludique que créative, il était désormais très clair que l’amicalité était de mise dans chaque rapport, dans chaque lien tissé entre les individus, où jamais personne ne se retient de sortir une petite vanne (je me souviens notamment qu’une vidéo sans son fait forcément penser à Véronique (big up Nicolas (désolé pour cette double (triple voire quadruple maintenant) parenthèse))).
Court mais intense.
L’après-midi fût encore plus excitante que la matinée, mais à la fin de celle-ci, j’ai ressenti comme une certaine frustration de ne pas pouvoir poursuivre davantage, pour l’instant, ce que j’avais commencé. Cela fait partie du jeu de la journée d’immersion, et je me suis consolé en espérant pouvoir prendre place à nouveau et très bientôt dans ces bureaux. C’est à peine croyable à quel point le temps peut passer vite au travail. Le travail sonne parfois négativement, le mot résonne comme une corvée. Et pourtant, ce mercredi là, je ne l’ai vu que comme un accomplissement, à la fois personnel et communautaire. Et lorsque le temps fût venu de débriefer au Café du Cinéma, j’ai senti une atmosphère familière alors que je venais de travailler avec eux qu’une seule journée. C’était un peu comme si ce debriefing était un after-work comme il y en avait eu d’autres, et comme il y en aura d’autres. Je pense que les gens tout autour de notre petite table en terrasse ne devaient pas voir des collègues, mais sans doute davantage des amis. Et sincèrement, qui ne rêverait pas de travailler dans une telle convivialité ? Lecteur, lectrice, j’ai fais l’expérience Tico, je crois que c’est à votre tour.
P.S. : pour ceux qui ont lu jusqu’au bout, Tico vous propose de venir les rencontrer dans le cadre de l’Innovation Week le 4 octobre prochain 😉